Le taf s'est bien passé :) je crois
1) j’ignore encore trop le goût des choses simples (sauf les rayons de soleil du matin)
2) ça va alleeeer
3) j’ai ouvert ma gueule.
4) impatiente
5) pas assez de confiance
après avec tout ce qui s’est passé, normal. Au de-là des trucs mystiques auxquels je crois encore et qui me rendent pas la vie simple, c’était pas cool ce que je viens de traverser. Mais j’ai été taillée pour. Des années de gaslighting m’ont formée. C-PTSD mon ami. Mais petit à petit l’oiseau fait son nid, je rigole. J’ai vu ma mère stap, et c’était super sympa. Je n’ai pas grand chose à dire à part des trucs un peu négatifs (vu que je n’ai pas trop confiance en moi) mais elle m’a dit que le tout c’est de savoir ce que je veux vraiment faire, qu’il y en a, du taf, comme si je ne devais pas m’inquiéter pour le fait de ne pas en avoir. Et ça m’a rassurée. Mais pour la partie savoir ce que je veux faire, mdr. Si je sais. Trouver un nouveau CDD de 18 mois pas loin de chez moi et passer mon permis ou faire un beau voyage. Si je fais ça bien, mon chouette petit appart de 35m2/480€ hors elec (à lire vite), pourrait devenir mon pied à terre. Je suis économe c’est juste que là c’était chaud. La baisse de revenu imprévu là. Je l’ai en travers de la gorge. J’ai honte de parler autant d’argent mais nike, ici j’ai le droit. <3. En fait j’ai surtout peur d’avoir trop la flemme mdrrr trop la flemme d’être à la hauteur de mes ambitions. Qui sont démesurées par ailleurs mais je me serai bien contentée d’un petit cdi dans mon journal local avec une voiture de fonction. Mais peut-être plus tard. En école de journalisme une professeure/intervenante/journaliste m’a dit qu’elle avait commencé vers 30 ans, avec plus de maturité. Elle était traductrice avant. Déjà c’est du lourd… Mais j’ai un certain bagage largement sous-estimé en tant que chargée de clientèle. C’est pas un travail assez valorisé je trouve. Bref, Ania la Marxiste se calme.