Peace and love

#1 Edito

Cher Journal,

En ce moment c’est ribouldingue en politique. Macron a dissout l’Assemblée nationale et les préparatifs d’une future campagne présidentielle se dessine. La gauche a attendu d’être au pied du mur pour s’unir. Il était temps. Le chef de la droite, fidèle à ses valeurs, trahit son propre parti et pactise avec les fachos d’extrême-droite.

Deux étrangers au bout du monde si différents

Je trouve qu’on peut enfin parler de la guerre en Palestine plus librement. Et si c’est pas le cas alors je prends le risque. Il aura fallut des otages. Avant, c’était mal vu d’ouvrir sa gueule sur la situation. Avant, c’était tabou de parler des colonies qui s’établissent progressivement en Cisjordanie, d’ailleurs on ne savait pas que c’était en Cisjordanie, c’était encore en Palestine. La Palestine de l’ancienne carte. Il me semble qu’il faut en parler maintenant parce qu’on l’a pas assez fait avant, alors qu’on était déjà au courant de la politique génocidaire de Benjamin Netanyahu. Et je crois que ce sont les étudiants des Etat-Unis qui ont permis au mouvement de prendre forme. Ils ont ouvert la brèche, refusant d’être complice par leur silence. On peut enfin pleurer Gaza.

And pray for Ukraine.

Good night